Promenade dans les magasins { pv Marie }

[ je me suis permise de mentionner Alice qui voulait toujorus te garder avec elle pour faire telle ou telle chsoe. C'est le seul début que j'ai pu trouver. ^^ ]

Après une " guerre " avec sa soeur, Alice, Emmett avait enfin pu arracher la petite Marie des bras de sa tante. Pour une fois qu'il passait du temps avec un enfant, et qui plus est, avec la fille de son frère, il était heureux. Il avait l'impression d'être un père en compagnie de sa petite fille. Mais, ce n'était pas sa fille, et elle était encore moins petite. Elle avait huit ans, mais en paraissait quatorze. Emmett voulait aller se ballader avec sa nièce pour apprendre à la connaître. Et il avait déjà sa petite idée quant à l'endroit où il voulait emener Marie. Bien sûr, il ne lui avait rien dit sur le lieu de leur promenade.
Le vampire avait pris sa jeep et était parti pourle centre ville où il était sûr de trouver des magasins. N'importe quelle fille normalement constituée, quelle soit une vampire, une humaine ou les deux, aimaient faire les magasins et traîner entre les portiques de vêtements. Une fois arrivé dans les rues où s'étalaient des dizaines de magasins, le vampire fut pris de vertiges, rien qu'à l'idée de mettre un pied dans un lieu très fréquentée par la gente féminine humaine.

" Bon, bah voilà où je t'emène. Tu veux les faire ou pas ? " demanda-t-il à Marie d'une voix mal assurée

[ Attention aux lignes Emmett ^^ ]

Ballottée entre sa tante et son oncle, Alice Cullen finit par me laisser partir avec Emmett Cullen. J'étais assez surprise d'ailleurs. Moi qui pensait qu'il ne voulait pas de nous dans la villa des Cullen. Anthony n'avait rien voulu dire des pensées de ses derniers. Il m'avait juste dit que je ne risquais rien. J'y étais donc aller. Lui semblait réticent. j'avais attendu le retour de Isabella, ma maman. Mais elle n'était pas revenu. J'avais finit par me faire à cette idée. J'avais trouvée mon père et perdu ma mère. C'était tellement difficile que j'en étais au fond de moi malheureuse. Bref Emmett avait finit par me mettre dans sa jeep. Puis nous étions partie vers Forks. J'ignorais si il savait que j'avais un jours était une menace pour les humains. Un monstre tueur de vie humaine. A cette pensée, je du retenir un ocquet des dégout envers moi. Emmett gara sa voiture devant sur un parking. Où il semblait y avait pas mal d'activité. Je regarda Emmett qui me proposait si je voulais ou nous faire les magasins. Je répondis assez confuse.

-Euh .. euh Emmett ... Je .. je ne sais pas si j'y arriverais ... Les humains tout ça ... J'ai pas apprit à vivre avec eux autrement qu'en les tuant meme si je n'ai jamais aimer tuer ... je sais pas

Honteuse, je tournais la téte. Regardant dehors, j'admirais les gosses qui jouer au loups dehors. Ils semblait avec environ dix ans. Pas plus, peu etre moins. J'ignorais tout cela.

[ désolée j'avais pas trop d'inspi ce jour là. ^^ ]

Emmett regarda sa nièce en faisant une petite moue. Ca ne lui ressemblait pas, ces débordements de mal-être, mais, comme il était dans le monde des humains, autant se comporter comme des humains. Quelques temps plus tard, il détourna son regard de Marie et le posa à l'extérieur. Bizarrement, il était partagé entre faire plaisir à sa nièce et se sentir mal à l'aise ou prendre ses jambes à son cou et se carapater à toute vitesse.

" Tu sais, Marie, je suis aussi mal à l'aise que toi ici. C'est vrai que je peux très bien me mettre à mes aises dans cet environnement, mais la tentation du sang est trop forte. Surtout quand les petits humains tombent et s'écorchent les genoux. Tu ne peux pas savoir... Bon, j'arrête de raconter mes expériences personnelles. Ne t'inquiète pas, je suis là. Tu n'aura pas à sauter sur quelqu'un. Je saurais te maîtriser. Fais moi confiance, ok ? "

Le vampire mit sa casquette sur son crâne, ouvrit la porte de sa jeep et sortit dans la rue. Il la referma et attendit patiemment que Marie daigne venir avec lui. Il promena ses yeux sur les façades des devantures et repéra déjà quelques vêtements qui plairaient sûrement à Rosalie. Pour passer les quelques secondes qui étaient pareil à une éternité, il fit craquer les articulations de son cou, roula des épaules et baîlla bruyamment. Bien sûr, cette dernière chsoe n'était que du cinéma. Emmett, comme tout le reste de sa famille, ne dormait jamais et n'était jamais fatigué. Mais, quelques passants le regardèrent avec des yeux interloqués et Emmett leur lança un regard souriant qu'ils dûrent prendre pour meurtrier car les quelques passants s'en allèrent vite fait.